Terence Koh, ou la « poétique de la perte »


« Alors que ses déclarations publiques revendiquent un narcissisme décadent, ses oeuvres passées – périssables en raison des matériaux utilisé comme le lubrifiant, la salive, le sperme ou le chocolat – pourraient suggérer une poétique de la perte plus fragile qu’elles ne le laisseraient croire. A l’inverse, sa prétentieuse installation God (2007) suggère les prémices d’une auto-déification ».

In 100 Contemporary Artists, éd. Taschen, 2011.

Votre commentaire

Entrez vos coordonnées ci-dessous ou cliquez sur une icône pour vous connecter:

Logo WordPress.com

Vous commentez à l’aide de votre compte WordPress.com. Déconnexion /  Changer )

Photo Facebook

Vous commentez à l’aide de votre compte Facebook. Déconnexion /  Changer )

Connexion à %s

%d blogueurs aiment cette page :